Chouette expérience obtenue via in bongo(vous savez le fameux cadeau empoisonné…), j’ai choisi le vol en ULM à Genappe(Baisy-Thy). Accueil pour l’enregistrement … euh… personne né s’occupait de moi. Ensuite ça a été: moniteur super cool(Vincent) expliquant tout ce qu’on allait faire, et voir depuis le ciel pour ce vol de 15min Vol par dessus les villages environnants, les champs, les forêts, un château, vue(de loin) sur Bruxelles, vue sur la butte du Lion de Waterloo. Bref, très chouette quoi ! si vous avez le vertige, c’est ptêt pas le meilleur choix, car bien qu’attaché, ça fout quand même un peu les jetons.
Uhuru D.
Place rating: 4 Ixelles, Belgique
Flight Simulator né vous interesse pas? Just pour commencer — voir club . 21 juin on sera a Grimbergen face rw02. A+++ OOLAX Il y a encore voir internet A LIREMICROSIMILATERU revue mensuelle Voir 6 juin VIPDAY a SIMWARE — Bön courage et bonne decision
Jean-François B.
Place rating: 5 Bruxelles, Belgique
J’ai toujours été intéressé par l’univers de l’aviation. Et cet intérêt a pour conséquence que cela fait quelques années que je me tâte sur l’opportunité de passer une licence de pilote privé. Ce n’est pas une décision facile pour plusieurs raisons: premièrement, pour ceux qui sont habitués à l’aviation commerciale et son côté très lisse, le côté rustique d’un avion genre«Cessna» peut en étonner plus d’un. Deuxièmement, il fait dégueu en Belgique et les occasions de voler(l’aviation privée se fait généralement à vue, sauf si licence spécifique de pilotage aux instruments) né sont pas tellement légion et surtout… CACOÛTEUNEBLINDE. Acquérir une licence est déjà assez coûteux(environ 7.000 €) mais la maintenir implique un coût annuel supplémentaire(sans compter les taxes d’atterrissage etc…). Bref… hors de portée pour moi. S’est alors posé la question de l’ULM. Moins cher à la formation(il né faut pas se le cacher, ça reste tout de même un bon vieux coup de fusil) mais surtout beaucoup moins contraignant que l’avion privé «classique»(beaucoup plus de terrains, moins de réglementation, maintien de la licence beaucoup plus aisé). Il faut mettre de côté ses préjugés: le temps des tondeuses à gazon montées sur des ailes delta est révolu. L’ULM moderne, surtout dans sa déclinaison«trois axes» n’a pas grand chose à envier aux avions de loisir plus imposants. Le temps, la technologie et l’évolution des matériaux ont fait qu’aujourd’hui un ULM peut proposer une expérience comparable sur bien des points, très loin des trapanelles d’il y a trente ans. Plusieurs aérodromes proposent donc des formations ULM. Parmi ces installations, ULM Baisy-Thy se démarque sur plusieurs points. Le terrain est tout d’abord exclusivement consacré aux ULM. Deuxièmement l’écolage se fait sur des machines«dernière génération», des FK9 qui ont les dimensions comparables aux Cessna 150. Ces machines sont importées sur place pour tout le Benelux et y sont entretenues, gage de sérieux et de sécurité. Enfin, l’équipe est composée de moniteurs(certains y travaillent à plein temps) qui ont l’expérience et la pédagogie indispensables et qui pour certains d’entre eux ont été les pionniers du vol ULM en Belgique. J’y suis donc allé pour un vol d’initiation et revenu convaincu. Le prix est un peu abrupt au premier abord(145 € hors offres genre groupon/bongo) mais comprend 45 – 50 minutes de vol, prise des commandes et débrief. Au final, quand on connaît la valeur des machines, les coûts d’un entretien scrupuleux et le coût du carburant… on comprend mieux. Pour ceux qui se tâtent, c’est une bonne occasion de faire le plein de sensations et de piloter un véritable petit avion. Le revers de la médaille, c’est que vous risquez bien de revenir convaincu et de considérer tout autre type de dépense(vous garderez bien ce calbut encore un ou deux ans!!!) comme superflue. Si vous sautez le pas, ULM-Baisy-thy propose un pack débutant de 10h de vol, cartes aéronautiques, 25h de cours théoriques, pour 1.500 €. Si vous souhaitez moins le sentir passer, ou si vous vous tâtez, il y a moyen de prendre tout cela séparément pour un peu plus cher au final et de payer«à la prestation». J’en suis encore là, entre l’envie de sauter le pas et celle de pouvoir m’acheter un nouveau pantalon.