Place rating: 3 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Cette rue connait depuis des années un micro-climat. Les températures sont très élevées, le climat y est torride,…Bref un temps à né pas mettre une chatte dehors… Pourquoi cette petite interlude météorologique? Pour te décrire d’une manière plus ou moins correcte l’ambiance qui règne dans ce quartier. Liège possède sa Rue Varin, Bruxelles possède sa Rue d’Aerschot, toutes les deux vulgairement surnommée «Rue des pu***». On aime ou on aime pas, on connait tous les problèmes que peuvent engranger la prostitution, je né m’étendrai donc pas sur le sujet… Je préfère te dire que personnellement, je m’amuse beaucoup à passer dans cette rue, de jour comme de nuit. Je préfère rire de voir ces hommes en train de bâver sur le moindre bout de peau, de saliver devant ce petit téton qui dépassé et de fantasmer devant cette fesse qui dit«Mord moi!». Parfois je regarde ces buis-buis(et oui j’appelle ces endroits comme ça!), j’ai soudain une pensée pour Molière :“Couvrez ce sein que je né saurais voir !”
Flavie L.
Place rating: 3 Région de Bruxelles-Capitale, Belgique
Humm… Comment dire… Je tiens à préciser que je parle de cet endroit non pas pour la qualité de ses services, car très sincèrement je n’en sais rien du tout, mais plutôt pour son folklore! C’est un peu le quartier rouge de Bruxelles ou le Pigalle belge, pour ceux qui n’auraient pas encore compris… Je n’y passé guère souvent, mais il m’est arrivé plusieurs fois de sortir de la Gare du Nord, et de repasser par cette rue. Bien plus impressionnant de nuit que de jour, ce lieu reste une spécialité tout à fait locale et cocasse. Je né me sens pas gênée à la vue des prostituées en vitrine, et elles non plus visiblement. Après tout c’est un métier. La seule chose qui me dérange, bien que cela fasse parti du décor, ce sont les hommes qui rôdent tels des vautours. Ils sont là pour elles, mais n’osent jamais me regarder quand je passé près d’eux, comme si je devenais un miroir de leur propre honte. Ou parfois tout l’inverse, les hommes vont m’observer en réfléchissant au tarif qu’ils pourraient me proposer. Dans les deux cas, on né sent pas vraiment à sa place. Mais ça reste un quartier phare de la capitale, où il faut passer au moins une fois à la lueur des spots rouges.