Color Me Rad

Vraiment sympa cette Color Me Rad !
Alors oui c’est pas donné, il faut le dire. Mais honnêtement comme a pu le dire Jeanne, l’organisation était TIP TOP !
Des navettes en nombre et accessibles sans attente.
Un accès à la consigne sans attendre trop non plus.
Des départs décalés choisis quelques jours avant, avec un «échauffement» à base de «jkiffeceson» et des mecs là uniquement pour chauffer les participants.
PLEIN de bénévoles au top qui encouragent /​t’aspergent de poudre de couleur à chaque borne.
Un village ultra ambiancé et un public de folie.
Oui parce que la Color Me Rad est une course mais pas que.
Je dirais même que la course n’en est pas le point principal et si vous êtes venus vraiment pour ça, vous pouvez être un peu déçus car la plupart des participants marchent en ligne pendant le parcours, pas très pratique. Mais bon, on vient pas à la Color Me Rad pour performer de toute façon !
Un peu déçue aussi niveau musique, les DJ n’étant pas à la hauteur de ce qu’on nous avait promis, peut-​être qu’à Paris c’était mieux…
Mis à part ces deux points, c’est un super moment coloré à passer à danser, à sauter, à chanter et rigoler… vivement l’année prochaine :)
ps: euuuuh, comment on récup’ nos baskets après une journée comme ça? Vous avez une astuce? xD

Oh la la, mais quelle journée de folie !
J’ai l’impression d’avoir passé la journée sur un arc-​en-​ciel (et je né suis pas sûre d’en être tout à fait redescendue depuis…).
C’était ENORMISSIME !
Je n’avais jamais vécu un truc pareil, et je suis heureuse de voir que passés 40 ans, on peut encore s’amuser et délirer comme des gosses !!
D’ailleurs, j’avais le mien, de gosse, avec moi, tout comme plein d’autres familles, et franchement, c’était largement autant fait pour eux que pour les «grands » !
Si l’organisation de la remise des kits de départ était plutôt foireuse et très brouillonne, et laissait craindre le pire pour la journée elle-​même, force est de constater que l’organisation de l’événement le jour J était remarquable à tous points de vue: rotation des navettes, parkings sur place, nombreuses personnes pour indiquer les directions et placer les véhicules, vestiaire gratuit, personnel aimable… Je n’ai jamais eu d’impression de saturation et encore moins réalisé qu’on était plus de 20.000 personnes (chiffre officiel repris par le Progrès) !!
Dès la remise du kit de départ, on était déjà un pied dans l’ambiance: un joli tee-​shirt blanc by Cache-​Cache (bon, les tailles étaient plutôt optimistes !) «Bigger — Badder — Radder «, des lunettes sympas aux couleurs funky-​flashy (jaune, bleu, orange, rose…), des bonbons Tagada, notre dossard (la caution sérieuse !), le bracelet de départ, un porte-​clé (j’ai longtemps cherché s’il faisait autre chose que seulement porte-​clé… !) et divers prospectus, bons de réduction, pubs…
Le «faiseur d’ambiance «au départ était très motivé et bien «chaud «(il né devait plus avoir de voix à la fin de la journée, le pauvre !), la foule en délire, filmée par des drones (on peut voir les images sur le site de Color Me Rad), qui danse et bouge et s’échauffe en attendant le départ, les départs bien cadencés toutes les demi-​heures, un tracé de course bien pépère — qu’on court, marche, trottine, claudique, roule, avec ou sans enfant — avec la possibilité laissée au public, à des gens non-​inscrits, de pouvoir rejoindre les abords de la course pour voir, pour retrouver des amis, pour filmer (Coucou Papa ! Coucou Maman !)…
Courir est en fait vite devenu très secondaire… L’important, finalement, c’était d’être là, avec tout le monde, entre amis surtout, mais aussi en famille. J’ai adoré sentir cet élan partagé de tous ces gens vers un seul objectif: s’amuser, dans un esprit bon enfant et en parfaite osmose les uns avec les autres… J’ai adoré voir tous ces gens déguisés, entendre parler plein de langues étrangères, voir des jeunes, des très jeunes, des moins jeunes, dans une immense communion de bonne humeur, de fun, et de couleurs… J’ai adoré la musique, me retrouver multicolore avant même le départ (j’avais mes Color Bombs à moi, hé hé hé !), j’ai adoré trouver ça super marrant de me faire asperger de couleurs tous les km… et d’être toute déçue quand c’était fini !
Pour les détails plus prosaïques, je rejoins les premiers avis: pour 22 à 26 € d’inscription, j’aurais bien aimé moi aussi me voir offrir un bidule à manger à l’arrivée (ou au moins un bon pour un sandwich, ou même simplement une remise sur un sandwich…), j’aurais aimé que les flyers des partenaires, qui se trouvaient dans le kit de départ, né soient pas que des pubs mais que ça donne accès à un truc sympa au Village (ou alors j’ai raté un truc ?).
Et surtout, je suis un peu déçue que sur la totalité du montant de l’inscription, seul 1 euro soit reversé à l’association caritative PL4Y International (qui intervient dans 12 pays dans le monde, et qui utilise le sport comme levier de changement social)… Ok, s’ils ont vendu 20.000 kits, ça fait théoriquement 20.000 € reversés rien que pour la course de Lyon… Un article dans le Progrès dit que «l’an dernier, sur l’ensemble de ses courses en France, les organisateurs de Color Me Rad ont récolté 12.000 € (…). Cette année, le chiffre devrait augmenter »: j’espère bien !
Bilan: un moment extra-​ordinaire et inoubliable, que je me réjouis de revivre j’espère l’an prochain !

Une course top top top ! J’ai encore un arc en ciel de bonheur dans les yeux (et surtout entre les sein et sur les pieds…).
Déjà, j’ai adoré mon kit avec le t shirt bienvenu pour né pas salir ses propres affaires, les lunettes colorées, les bonbons… En plus, même si les personnes qui les donnaient étaient un peu débordés face au monde présent, c’était génial de pouvoir récupérer pour plein de monde en même temps et né pas avoir à se déplacer quand on bosse ou qu’on vient de loin (cc les Unilocaleurs et les 12 kits que j’ai récupéré). Gros gros point positif.
Même si la course est partie un peu plus tard que prévue, l’ambiance était au rdv. J’ai adoré les olas, la musique, les bénévoles tout au long du chemin qui nous encourageaient, les familles qui côtoyaient les coureurs plus expérimentés…
L’ambiance à la fin n’avait rien à envier au reste entre photos sur les stands des partenaires, festival hyper animé, jets de couleur en plein milieu…
C’est vrai que je rejoins les filles sur le petit point noir qui était le ravitaillement. Un peu de jus ou soda pour le sucre aurait été les bienvenus. Et même si on avait des bons de réduction pour la brioche dorée, un petit bout de pain ou un fruit aurait était vraiment top. Pour la prochaine fois, mesdames et messieurs les organisateurs, si vous nous lisez…
L’année prochaine, comptez sur moi. Je serai de nouveau prête à être peinturlurée et à en redemander !

Une première et quelle première!
Cela fait 2 jours et j’ai pleins d’images se bousculent dans ma tête :
— Le soleil qui s’est invité: une belle surprise au vue des prévisions! Un beau coup de soleil sur le front est là pour en témoigné!
— Le blanc qui domine (pour le moment) dans les rames du métro.
— Les navettes à la gare Laurent Bonnevay qui s’enchainent pour nous emmener au parc Miribel Jonage. Fluide, une bonne organisation et des bénévoles avec le sourire.
— L’arrivée sur le parc: le parking déjà bien rempli, la musique raisonne!!!
— Récupérer son kit de départ auprès de copines qui ont eu l’a gentillesse de tous les réunir (merci Alex!). Allez hop on enfile le tee-​shirt «Bgger Badder Radder», les lunettes de soleil flashy sur le nez, le bracelet indiquant notre heure de départ, on épingle le dossard (c’est tout de même une course… il faut faire genre^^) et on déguste les fraises tagada offertes: p
— Direction la zone de départ et l’on croise nos 20 000 ami (e)s du jour: sportifs ou non, en famille, entre potes… nous sommes tous rassemblés pour s’amuser!
Beaucoup de selfies, des déguisements, des visages déjà bien colorés, l’ambiance monte!
— L’heure H approche et on est plongé dans la Color Me Rad. La musique est à fond, l’animateur est déchainé au micro et les chants, les olas s’enchainent. J’ose dire que j’étais déjà essoufflée avant le départ :-)
— On retrouve sans trop de difficultés les copines et on attend que notre vague soit autorisé à se lancer. Un peu de retard par rapport au timing prévu mais cela né pose aucune problème et on né s’en apercoit pas tellement nous sommes prises dans l’ambiance ensoleillée et colorée!
— «Ah mince c’est vrai on est sensé courir!» On n’en avait presque oublié qu’il y avait 5 km à effectuer ^^
Je né connaissais pas ce parc et il est vraiment agréable! Footing au milieu des arbres, d’un lac… oui j’ai pris un peu le temps d’admirer le paysage!
— On court, on marche, on rampe, on se met genoux, on sprinte, on fait une pause photos, on attend ces copains… chacun son rythme et ce bazar organisé est vraiment bon enfant! Smile on my face tout du long!
— La vue des différentes arches de couleurs motivent et les douleurs aux jambes disparaissent bien vite! Rose, bleu, jaune… on en prend plein la face (pas super bon la fécule ^^), on en redemande en se roulant dedans!
— A l’arrivée, on compare notre nouveau style, les dominances, on s’enlace, on pense bien sur à la photo «d’après» et on serait presque prêtes à recommencer!
— la zone d’arrivée est boueuse et on aurait pu enchainer sur un mud day :-)
Chaque participant a récupéré un dose de peinture qu’il doit jeter à la fin d’un décompte. Cela donne lieu à de magnifiques scènes!
— Les DJs sont sur scèné pour nous faire danser. Pure ambiance, on se déchaine et la foule augmente au fil des arrivées.
— Le retour en métro avec des regards étonnés et amusés :D Mélange de «né me touchez pas», «d’où sortent ils?» et «je vous envie»!
— La mission douche; on frotte, on frotte… et on se rend compte que l’on aura encore quelques traces souvenirs pour les jours à venir :-)
Encore beaucoup d’autres images pour une très belle expérience que je renouvellerai l’année prochaine.
En espérant également un village de départ et d’arrivée un peu + fourni avec les associations davantage mises en avant et un ravitaillement + important au vue du prix.

Quelle aventure la Color Run!
Pour son édition lyonnaise, elle nous donne rendez-​vous au parc de Miribel Jonage, nous fait payer entre 22 et 30 € pour l’inscription et nous fait passer, très franchement, un excellent moment.
Concernant l’organisation, je n’ai absolument RIEN à redire, tout était impeccable. La possibilité de charger quelqu’un du retrait des dossards pour éviter d’être 20.000, les navettes qui tournent régulièrement sans attente à l’aller comme au retour, des bracelets de couleurs différentes pour les départs par vagues, ce qui fait que nous n’étions pas 20.000 sur la ligne de départ, de la musique et un chauffeur d’ambiance pour le départ, de la musique encore et une ambiance festival à l’arrivée, un sans faute.
Des stands pour faire des photos, des partenaires aussi funs que l’ambiance, super.
Les sas de peinture tous les km environ, avec des missions 4 pattes et ramper dans la poudre colorée, c’était drôle. Le sachet qui est distribué en fin de parcours pour le lâcher de couleurs tous ensemble devant la scèné de l’arrivée était le bienvenu également.
J’ai aimé trouver un paquet de dragibus, des lunettes de soleil & un tee shirt dans mon kit, j’ai moins aimé n’avoir rien à manger pendant les ravitaillements et à l’arrivée, ni autre chose à boire que de l’eau. On pourrait imaginer que pour ce prix là on aurait droit à un verre de jus de fruit ou à des barres de céréales mais non, seulement des réductions pour acheter des sandwichs.
Ce sera mon seul reproche parce que sinon, c’était vraiment cool.
L’ambiance entre les coureurs était parfaite et oui, on passé pour des tarés quand on retourne en ville par les TCL. Mais c’est vraiment fun.
Si c’était à refaire, je le ferai en ayant un peu bu (personnes indignées, fermez les yeux, ce n’est pas une vraie course) et en né prévoyant rien ensuite pour profiter de la fête toute l’aprem.
A refaire donc, avis aux amateurs!

C’est encore marquée (peut être à vie, on sait pas encore) de grandes marques vertes au niveau des boobs et du ventre, de grosses taches bleues au niveau des genoux et de marques roses dans le cou et sur le front, que j’écris cet avis, la mémoiré encore bien imprégnée des franches rigolades d’hier.
Je vais commencer direct par le négatif. Comme Jeanne, je pense que pour une trentaine d’euros, on mérite un peu plus qu’un verre d’eau en ravitaillement à la fin de la course, surtout sachant que la course partant le plus tôt finit aux alentours de 11h30/​12h. Une barre de céréales, un bout de pain, du chocolat, bref. Les autres courses (pour beaucoup moins cher) mettent beaucoup plus à disposition.
Mais bon, après c’est un arc en ciel géant ! C’est la vie en couleurs, un hymne au fun, à la rigolade, aux moments entre copains !
J’ai tellement ri quand j’ai retrouvé Jeanne a chaque sas, au rose, quand je m’en suis pris plein le cou, au vert, quand elle ressemblait à Géant vert, au jaune, quand j’étais l’incarnation humaine du drapeau du Brésil (jaune en haut, vert en bas), au bleu, quand il a fallut qu’on se mette à 4 pattes et que là, la maïzena colorée (^^) vont tombe dessus comme de la pluie. Ce qui est génial aussi c’est de ramasser la poudre par terre et d’en balancer partout (avec les brindilles au sol). Ambiance de fou à l’arrivée — où, sachez-​le, on aurait largement pu enchaîner sur un mud day vu l’état du parc ! Mais entre 2 chansons de Mackleeeemoooore (coucou Jeanne !) on a pu shaker le popotin avant de rentrer.
Alors sachez aussi que pour rentrer après le Color run, vous traverserez plusieurs étapes:
1. Rentrer dans la navette, couverte de tissus
2. Rentrer dans le métro A, entièrement peinturé, mais avec 90% du wagon dans le même état que vous
2. Changer de métro … Et passer la correspondance ou la vous passez a 10% de gens dans le même état que vous … On vous juge ! :D Le gros avantage, c’est qu’on vous laisse passer et on a peur de vous! Le fécule de maïs colorée fait peur, surtout étalée partout sur le visage. (On voulait faire des blagues aux gens avec Jeanne mais on a pas eu le temps de mettre notre plan a exécution ^^)
Bref, la Color Run, j’aimerai la refaire, et même dans une autre ville aussi !