Café Sillon

Notre nouvelle cantine à Lyon ! Tout y est parfait: le décor, le service et bien sûr, ce qu’il y a dans vos assiettes ! Des plats inventifs, surprenants, une carte qui change souvent. Parfois les innovations peuvent être un peu hasardeuses, mais je suis toujours satisfaite d’avoir gouté quelque chose de nouveau. Les portions sont parfaites, les serveuses adorables, elles connaissent très bien les plats qui sont servis, savent vous conseiller aussi bien sur les plats que sur les vins. Tout ça pour 35 € entrée/​plat/​dessert. Une de mes adresses favorites à Lyon !

Après un tour du Monde, le Chef Mathieu Rostaing décide de revenir en terre lyonnaise pour ouvrir le Café Sillon après avoir tenu d’une main de maitre son premier restaurant lyonnais le «126».
Il revient avec un concept époustouflant le mélange des saveursavec des associations étonnantes.
Je né peux vous en dire plus…
Mes papilles en sont encore toutes BABAS.

Une visite plus récente… Et une cuisine franchement extraordinaire ce jour là. Rien à dire, c’était vraiment très fin et bon. Et la sélection des vins… J’adore! Il en a du talent!

Un bon moment passé dans ce restaurant très hipster aux tons de bleus. La cuisine est très moderne et subtile. Le service est juste au top!
Le rapport qualité prix est au rendez-​vous!
Il fait partie de cette nouvelle tendance de restos à la mode qui envahissent le 7ème arrondissement de Lyon.

Des produits toujours exceptionnels cuisinés avec finesse et audace par Mathieu et sa troupe, une Joanna toujours en pleine forme en salle, au service des clients et des vins. Chaque fois le repas tombe juste et on se fait parfois secouer par de très grands plats.
Un régal et, à signaler, une bande son «da morire».

Voilà une bonne soirée pleine d arômes et de saveurs
Le St Pierre un pur délice
Un sans faute de l entrée au dessert
Le tout avec un beaujolais blanc
À refaire rapidement

Le café Sillon est un restaurant pleins de charme ! Situé dans le nouveau quartier à la mode de Lyon. Le service est très sympathique!
Les associations sont très originales (parfois à peine trop, au détriment du goût)!
Le rapport qualité prix est plutôt bon, parfois à peine cher mais dans l’ensemble cela est mérité !
Je recommande ce restaurant !

Bön alors c’est bon … Déroutant parfois, presque trop à certains moments (trop de parfums peuvent nuire parfois !) …
Mais le gros point noir: les délais d’attente entre l’entrée et le plat: 1h30 … Donc quand il arrive … On l’avale … Puis 30mn pour le dessert … Bref 3h pour le repas sans le café … C’est un peu long … Et à peine une excuse, ça c’est un peu énervant…

Cuisine raffinée et originale. Service irréprochable. Mieux vaut réserver, y compris le midi en semaine.

J’avais entendu du bien du Café Sillon, j’avais lu de bons articles… Déception ! J’ai trouvé le service un peu collant, à nous demander sans cesse si ça va. Limite si on pouvait se parler. Ensuite, j’ai trouvé cela un peu pompeux les noms sur le menu, les assiettes font design mais cela né donne pas tant que cela envie de manger. Bref, j’ai essayé et je n’ai pas envie d’y retourner.

La troisième claque de l’année après le brunch nespresso et l’arsenic. Une décoration épurée et à la fois et traditionnelle. Vielle chaises et tables en bois font bonne figure avec la peinture bleue et les lustres modernes de la salle. On s’y sent un peu comme dans un bistrot mais sans le bruit et carrément à l’aise.
L’impatience de lire la carte est forte. Courte mais tellement intrigante et appétissante. Au menu des produits simples: épautre, oeufs, thonine, volaille mais tous sublimés. La cuisson de la thonine parfaite, un épeautre au beurre d’ail d’ours délicieux, des cébettes fondantes.
Le dessert étonnant et épatant: une crème de citron, granité de concombre, salicornes et meringues de thé matcha finit par me rendre sous le charme de l’adresse. En bonus un service discret qui se soucie de vos attentions. On en ressort tellement satisfait qu’on se demande pourquoi on n’est pas venu avant.

Vous connaissez cette image de Picasso peignant un taureau en 30 secondes? Elle est là :
Je ressent la même chose au Café Sillon: une clarté, une épure où les choses sont simples et réussies, fortes et marquantes. J’ai l’impression que tout se tient, est cohérent: le contenu et le look du menu, le décor de la salle et les portes battantes ouvrant sur la cuisine, le ton, le sourire et les paroles des serveuses. L’originalité et la puissance gustative des plats éclatent d’autant plus qu’ils sont présentés avec simplicité et une touché d’élégance.
On sent ici que quelqu’un est en charge, à la manœuvre. Qu’un être pas commun, avec une personnalité puissante, dirige et mobilise son équipe. Qu’un but est poursuivi, qu’une direction fédératrice a été fixée. Et que tel un train traversant la campagne à toute allure, l’équipage poursuit cet objectif enchanteur au grand galop.

Un sans faute! Tout était parfait pour ce déjeuner!
Je répète: PARFAIT
L’ambiance au Café Sillon est joyeuse et conviviale, un peu vieux bistrot bruyant et décontracté, j’adore!
Et alors ce menu entrée+plat+dessert à 22 €… Divin!
Très fin et savoureux. Les produits sont travaillés avec beaucoup de goût et de délicatesse. Les présentations sont colorées et appétissantes.
Le vin (un pot de Pouilly-​Fuissé) a sublimé les plats. Nous nous sommes régalés.
On reviendra! Et vite j’espère!

Je me réjouissais déjà à l’idée de franchir la porte du Café Sillon. Une de ces nouvelles tables ouvertes en 2014 qui ont rapidement fait le buzz à Lyon et qui me semblait être sur le papier très prometteur. D’ailleurs le guide Fooding 2015 l’a élu «meilleur bistrot «de France.
C’est ici que le chef Mathieu Rostaing-​Tayard officie; un jeune cuisinier de plus d’une trentaine d’année qui est passé dans de prestigieux établissements comme par exemple chez Pierre Gagnaire dans son établissement londonien appelé Sketch, Michel Portos lorsqu’il se trouvait à Bordeaux au Saint-​James et Eric Briffard de Paris. Bref, de très belles références pour un chef. Ses récents voyages au Japon, Italie et Pérou lui auraient donné sans aucun doute une vision nouvelle de ce que peut-​être une cuisine bistronomique.
Ancien bouchon dans le quartier de la Guillotière qui se trouve être selon certains, le nouveau quartier branché de la ville et situé à dix minutes à pieds du centre-​ville. C’est d’ailleurs ici que l’on croisera une population d’urbains travaillant dans les métiers de service (architectes, designers, personnes dans la communication, des artistes…). Des bobos plus bohèmes que bourgeois, qui rachètent d’anciens entrepôts ou des squats pour en faire des lofts surdimensionnés et évidement des restaurateurs et des bars mais aussi des rues un peu plus «chaudes «ou moins engageantes. Ce fut à une époque un quartier «pestiféré «…mais aujourd’hui il parait que c’est l’endroit où l’on sort.
Sur un coin de rue ce néo-​bistrot propose environ une quarantaine de couverts. Une décoration sobre, presque scandinave avec entre autre des murs bleu, un zinc à l’entrée le long duquel l’on peut également manger et dans cette salle des tables en bois de chêné massif et chaises de bistrot.
Sur le sol le carrelage d’origine et au plafond des lumières un peu comme dans un atelier. Une atmosphère chaude et conviviale, idéale pour un repas entre amis.
En salle Joanna Figuet la sommelière toute souriante nous amèné le menu unique sur une feuille de papier et nous explique les diverses formules. Un menu complet où l’on peut prendre une ou deux entrées et qui dans sa version étendue est à 42 euros.
Petit amuse-​bouche amené immédiatement et nous commencerons avec la première entrée, des langoustines, oignons rouges, betterave, roses et olives noires. L’assiette est plutôt jolie avec sa déclinaison de tons rouges et l’on se demande où se trouve les langoustines. Celles-​ci cuites à la seconde se trouvent cachées sous trois oignons rouges évidés. On déguste le tour ensemble avec l’oignon qui a mon avis est un peu trop vinaigré et assez nature dans sa préparation. Quelques rondelles de betterave encore croquantes et d’olives, un jus probablement à base de crustacé. J’ai dû manquer les roses dans cette assiette… Les saveurs de ce plat sont un peu dissociées et je né trouve pas d’unité au niveau des saveurs ou de gourmandise.
Deuxième entrée appelée Raviole ouverte d’agneau, poireau, citron, coques et laitue de mer. Nous nous attendions tous à un plat chaud, eh bien non. Cette-​fois l’assiette donne dans le vert avec tout d’abord une rondelle de pâte sans aucun goût. Je né suis pas vraiment un adepte de la pâte froide car les saveurs sont rarement présentes a moins de fortement assaisonner et la consistance né m’a jamais vraiment plu. Dessous, quelques morceaux d’agneau froid de la Ferme de Clavisy (une référence pour l’agneau), du poireau. Sur le dessus la laitue abandonnée sur le cercle de pâte et un jus d’herbes peut-​être citronné. Trois coques que l’on ouvre pour en sortir le mollusque. Une seconde assiette peu construite avec des associations étranges et malheureusement peu de réelle saveur. C’est un peu esthétique mais cela s’arrête-la.
Le plat probablement le plus aboutit et gourmand de la soirée dans un registre légèrement plus classique, la Canette au sang en croûte de sel, carottes, clémentine, sauge et anis. La volaille est bien cuite de deux manières différentes pour la cuisse et la poitrine, la sauce gouteuse avec les parfums d’agrume. Quelques carottes dont des jaunes en lamelles et la sauge frites. Un plat bien réalisé assez ménager.
L’alternative au plat principal était un Cabillaud, chou, beurre d’oursin-safran, foie de lotte et ail. Le cabillaud a été cuit à basse température, parfaitement moelleux et arrive évidement un peu tiède, ce qui est normal. La sauce elle aussi est un peu tiède ce qui est un peu regrettable. Un beurre à la saveur très prononcée qui s’harmonise plutôt bien avec le poisson mais je reste très dubitatif avec les choux de Bruxelles. J’aurais souhaité une touché plus douce, sucrée ou même caramélisée pour contrebalancer le côté de la sauce très iodée. Je né suis à nouveau pas emballé par ce chou croquant et un peu vert.

Great little place, the food really was first class. 35 euros for three courses with slightly smaller servings. There was a surprise starter from the chef which was nice, then my friend and I ordered different things, an egg concoction and he had a calamari in squid ink, both were excellent! For the mains, I had monkfish in a delicious white butter sauce and he had pork chop and pork rib. The pork was tender and beautifully smoked with great accompanying vegetables.
The desserts were original (not crème brûlée and fondant like everywhere else in Lyon), although not as good as the mains.
A pot of wine for 20 was very good quality if not a tad expensive.
Can’t wait to see what they are putting on next week!

Tellement triste après la fermeture du 126, ca fait plaisir de retrouver le chef ! Les couleurs, le mélange de textures et de gouts… c’est juste magnifique et toujours un pur bonheur !

Tout le monde l’attendait … et moi je né savais même pas qui c’était !!
Mathieu Rostaing Tayard a donc posé ses caesseroles à 2 pas de chez moi, au coeur de ce 7eme arrondissement épicurien, bien entouré par Elementaire, Kitchen Café, Les Bonnes Manières, l’Art et la Manière, Les Pralins…
Après le raz-​de-​marée d’ouvertures et des billets/​posts/​avis/​tweets de mes amis connectés, j’ai moi aussi pu vivre l’expérience Café Sillon!
Sillon veut un restaurant à la cuisine créative mais pas raisonnée
Sillon on a envie de partager un bon moment entre épicuriens
Sillon on aime les bons vins, les jolis domaines, les beaux flacons et le vin au verre pour découvrir des pépites
Sillon n’a pas peur de méler l’Agneau et la sardine ou le celeri avec la peche
Sillon aime les decos épurées, l’accueil chaleureux et le service efficace et taquin
Sillon est pret à débourser 35 € (ca les vaut!!) pour un menu en soirée
Direc-​sillon le Café Sillon

Le 7ème arrondissement poursuit sa lente et certaine ascension dans le titre du «quartier qui déboîte tellement tous les bons restaurants y sont» avec l’arrivée (très attendue !!!) du Café Sillon.
Profitant d’un super karma, j’y filé un midi, avec une copine pleine d’appétit, profiter de la formule entrée plat dessert de ce jeune et fougueux chef.
La salle est très vintage, murs bleu roi, table en bois old school, on est bien installés, et c’est rigolo, le restau est neuf mais on se sent dans une vieille trouvaille de province ^^ Le service est réalisé, lui, par des jeunes trouvailles de Lyon, en deux jeunes femmes punchy, pleines d’humour et de bon conseil.
26 € entrée plat dessert ce me semble pour un menu prometteur entre deux propositions à chaque fois.
Je craque pour une raviole de joue de boeuf sur une crème d’artichaud aevc des jeunes pousses de petits pois. Oh mazette… C’est fin, c’est beau, c’est bon… C’est une parfaite réussite !!!
En plat principal, et bien, trou demi-​noir, une viande en sauce (veau? agneau ?) avec de délicieuses petites carottes, le tout très bien cuisiné et très goûtu. Simple et efficace !
Rayon dessert, je né frétille pas d’envie: au choix avocat poivron granité citron ou sorbet cacao et financier olives.
Bön.
…
oui mais moi j’aime le sucre :-/​
…
je renâcle mais la charmante serveuse me convainc «c’est vraiment sur les desserts que le chef se lâche»
OK, on tente l’avocat, poivron, granité et tout et tout
Le dessert arrive, est assez surprenant, l’avocat n’envahit pas la bouche, je mets de côté le carré de poivron, il y a un petit gâteau mousseux à la pistache qui est bien bon mais le granité est citron vert, et trop amer pour finir un repas
Au final, une très belle prestation, qui vaut le déplacement, mais Unilocal,peut être me rends tu trop exigeante… La créativité qui s’est surtout exprimée au dessert né m’a pas convaincue. L’entrée était vraiment succulente, le plat principal très bon et le dessert tout à fait honorable mais au final, je reste en quatre étoiles, avec un pouce vert pour le service (et le vin qui était délicieux !)

Alalala, mais qu’est ce qui m’a pris de tester à 2 jours d’intervalles l’Arsenic et le Café Sillon.
Forcement entre 2 jeunes chefs débordant d’imagination dans l’association de saveurs, la comparaison est forcement de mise…
Le chef Rostaing prend beaucoup de risques dans sa cuisine et on sent une envie d’innover en associant des gouts et saveurs improbables.
Alors après, ca passé ou ca casse…
Et ce vendredi soir, c’est passé merveilleusement bien pour certains plats mais pour d’autres ça a été un peu plus dur.
Petit résumé de ce diner :
Mon entrée à la pastèque ricotta et framboise assez acidulée était fraiche, légère, jolie et avait du pep’s. Mon cher et tendre lui est resté plus dubitatif sur ces escargots à la crème d’ail et à la fougère (tres amère).
Le plat, thon rouge tomate fenouil, le tout combiné avec une sauce, en bouche, à donner une association complètement folle: j’ai eu l’impression de manger un hamburger ! Et en reflechissant apres coup, visuellement aussi, avec les 2 tomates qui encerclaient le gros morceau de thon.
J’ai trouvé vraiment cette sensation géniale car je né m’attendais vraiment pas à ça dans mon palais.
Par contre, ce gros morceau de thon cru au coeur dans l’assiette était compliqué à couper et est arrivé tiede, fait expres ou pas, je né sais pas, mais n’aimant pas trop la viande bleue j’ai eu un peu de mal au debut a m’attaqué à ce pavé.
Coté dessert: le sorbet citron à l’amande fraiche agrémenté d’une chantilly né m’a pas procuré de grandes sensations quand au sorbet sesame noir cerise et aubergine du petit cheri, ca a été la grosse déception. Les cerises salées ont eu du mal à passer.
«Il fallait tout melanger !» nous dit la serveuse en nous apportant quelques cerises natures pour se faire pardonner.
Voilà donc ça passé ou ça casse, je vous l’avais dit !
35 euros pour E+P+D contre 28 euros pour l’Arsenic le soir avec moins de quantité (mais suffisante pour moi) vous avez compris pour qui j’ai mon penchant.
Mais cette créativité a attisé ma curiosité à vouloir refranchir la porte de ce Café.

Attention, attention, je m’y colle aussi ! Avis sur le Café Sillon, l’adresse la plus attendue de ces derniers mois à Lyon !
Le Café Sillon, pour ceux qui l’auraient raté, c’est le nouveau restaurant du chef Mathieu Rostaing-​Tayard, ex-​chef du 126. Un chef jeune et talentueux, beaucoup attendu depuis la fermeture du 126. Il a voyagé, il est revenu, et a transformé le Mâchon Lyonnais en nouvelle cantine chic — le Café Sillon.
Je né pensais pas foncer tester l’adresse dès l’ouverture, mais grâce à Sophia C qui nous y a réservé une table samedi midi et a proposé de tester l’adresse entre Unilocaleurs, ça a été chose faite, et comme vous le voyez, je n’ai pas été déçue.
Un peu arrêtée de prime abord par le prix (le samedi midi est au prix du soir, soit une formule entrée-​plat-​dessert à 35 euros au lieu de 22 en semaine), j’ai vite oublié ce détail. Déjà on note que l’adresse est sympathique. Le lieu est décoré tout en sobriété, façon bistrot de village; on aperçoit l’équipe s’activer en cuisine; c’est convivial et chic à la fois; ça me parle. J’avais hésité à venir avec Baby E, sur place je suis vite rassurée, les tables sont espacées et pas moins de 3 poussettes et 2 jeunes enfants sont présents en ce samedi midi, et le service est absolument irréprochable pour nous (et les) accueillir. Banco pour l’adresse kid-​friendly-​chic !
Dans l’assiette, attention les saveurs !
La carte reste mystérieuse et c’est tout aussi bien. On choisit en fonction des ingrédients qui nous attirent, et les plats se dessinent avec brio. Un amuse-​bouche autour de la pastèque assez merveilleux, un poulpe revisité en entrée, une aile de raie parfaite en plat, un dessert melon-​miel tout en simplicité… Les ingrédients sont simples mais parfaitement utilisés, les saveurs sont subtiles, les cuissons parfaites, les assiettes bien présentées («ça fait des plats photogéniques !»)… Comme Sophia C, je sors ravie de ce premier déjeuner et je rêve déjà d’y retourner ! Ça sera sûrement un midi en semaine pour voir l’adresse façon cantine… mais j’avoue avoir aimé l’ambiance conviviale de ce samedi midi également, donc je n’exclus pas d’y retourner en famille également, même si c’est un peu plus cher.
En résumé, une très bonne adresse, attendue mais sans «hype», et ça, ça fait du bien ! A découvrir et à adopter !

Tu sais ce qu’il faut faire pour vivre au milieu des sirènes ?
Tu descends au fond de la mer très loin
Si loin que le bleu n’existe plus
Là où le ciel n’est plus qu’un souvenir
Une fois que tu es là, dans le silence, tu y restes
Et si tu décides que tu veux mourir pour elles
Rester avec elles pour l’éternité
Alors elles viennent vers toi et jugent l’amour que tu leur porte
S’il est sincère
S’il est pur
Et si tu leur plaît
Alors elles t’emmèneront pour toujours
— — — — — — — –Le grand bleu
C’est beau n’est-ce pas mes amis?
Ici, pas besoin de retenir la respiration, entrer dans le café sillion, nous avons tout de suite plongé dans le grand bleu… Si reposant, si poétique, je me sens totalement relaxée dans cette salle peinte en bleu, avec son carrelage ancien, et son comptoir, ses tables et chaises en bois.
La carte est très simple, sans complication, seul des ingrédients de saison sont proposés.

Ce qu’il y a dans les assiettes, c’est des oeuvre d’art. Il y a des couleurs, des dressages très minutieux, et surtout, qu’est– ce que c’est bon!
La cuisson est très bien maîtrisée. Le poulpe, les légume, l’agneau, sont tous bien cuits. Fondant ou craquant, cuit ou cru, le chef est vraiment doué à ce jeux de cuissons différentes. La mélange des saveurs est très bien réussi. (seulement le dessert est peut être trop original à mon goût, mais il y a toujours beaucoup de saveurs dans l’assiette) Il y a des acidulés, des sucrés, des fumés, des amertumes… etc. Il m’a fait voyager. Le jus est très goûteux également, et en portion plutôt généreuse.
Je sort de ce resto avec un palais satisfait, et je espère déjà un prochain RDV avec la sirèné.