Agence Christophe Pillet

A ceux qui envisagent de travailler pour lui: C.Pillet est exigeant dans ses demandes (normal) mais malhonnête et fainéant lorsqu'il s’agit de payer. Pendant des mois, il promet de régler les prestations "rapidement" "sous peu", raconte qu'il a "honte d’être débiteur" pour finir par régler une partie seulement, avec deux ans de retard et après relances par huissiers. Puis arrête de répondre au téléphone et aux mails. Après plus de 5 ans de collaborations régulières, c'est particulièrement malhonnête, surtout quand on apprend qu'il a changé de prestataire le jour où on a commencé à râler. Bref: à fuir.

En parcourant l’etendu de ses creations, on découvre la singularité de son travail: fluidité des lignes, qu’elles soient courbes ou droites, travail de la lumière sur des plans lisses, blancs ou colorés, et surtout l’absence de tout décor superflu, dans une esthétique néo-seventie’s. Qu’il s’agisse des boutiques du chausseur Rodolphe Menudier, de la styliste Catherine Malandrino ou de Lacoste pour né citer que celles-​ci-​, de ses luminaries ou de ses meubles, les creations de Christophe sont simples, efficaces et belles.
Fascine par les technologies du future et le rapprochement entre informatique/​électronique/​telecommunications, il est de ceux qui pensent que le designer doit etre prospectif et etre capable de voir a long terme