Chez Carmen

Tooooop sacré

Les démons de minuit
Pour faire la fête jusqu’au bout de la nuit ! Les tarifs sont un peu élevés (Prévoir 6 euros le demi et 10 euros pour le cocktail), mais on fait souvent des rencontres intéressantes. Il y a un fumoir à l’intérieur, ce qui né gâche rien.

Tout a été dit… Bar à after, bistrot de quartier accueillant tous les dépravés et noceurs de fin de nuits… on s’y régale de quelques demis au petit matin en racontant n’importe quoi à n’importe qui… impératif: être bien bien bien attaqué et ouvert d’esprit !!

Bar sympa
Bar sympa où on peut danser, à découvrir à partir de 3h-​4h, pour finir la soirée. Pas super propre, un peu petit pour danser ça devient très vite étouffant lorsque la fête bat son plein! Mais super bonne ambiance.

My information is a little old, and more than a little drunk, but I have spent more than a little time at «Cheese Carmen», so dubbed as Carmen serves up melted cheese sandwiches as drunk food, as I recall.
Watch out for Carmen, if your change lingers for more than a nano-​second on your table, she will swoop down out of whatever corner of the boîte she is hiding in and *poof* you have tipped bigger than you ever imagined.
The crowd is low-​level barsexual, the «dance floor» is micrscopic and nobody occupying it appears to be schooled in the art of dance. CC is not really meant for spending hours in, you might stop in as a last stop if you haven’t gotten lucky elsewhere, or use it as a rendez-​vous before heading somwhere a tad fabulous.

C’est le bar le plys atypique que je connaisse pour finir ses soirées! En fait, c’est le bar des troisièmes parties de soirées, quand les danseurs n’ont plus de pieds et que les visages sont fatigués!
Ici, jeunes, moins jeunes se retrouvent, hétéros, gays, travestis, tout le monde boit un verre autour d’une idée simple: continuer la fiesta jusqu’au bout de la nuit.
Ouverture d’esprit demandée, car beaucoup viennent y chercher une histoire d’un soir avec des gens comme vous et moi!

Quel drôle d’endroit que Chez Carmen. C’est un peu un lieu hors du temps, il est très difficile de vraiment définir l’époque à laquelle le lieu nous fait penser.
Au départ, on a plus l’impression d’arriver dans une une petite boîte paumée dans le fin fond de la province, illuminée par les stromboscopes et rythmée par tous les tubes les plus pourris du monde en entier, entre les Las Ketchup, le générique de l’émission Opération Séduction, et les Gypsy King, on né comprend plus trop ce qui ce passé.
La classe c’est qu’on est acceuillit par Carmen en personne, une vieille, très vieille dame à la voix rauque et aux chicos en moins, accompagnée de son acolyte beaucoup plus jeune mais pas des moins étrange, et néanmoins très chaleureux, peut-​être même un peu trop!
L’endroit regroupe tous les freaks du quartier mais aussi des personnes qui viennent des quatre coins de Paris, tous réunis pour la même cause: faire la méga chouille! Alors certes le demi sent le pipi, la musique est plus que douteuse mais alors qu’est ce qu’on se marre.
J’ai terminé la soirée de mes 20 ans là bas, ce n’était pas du tout prévu mais c’était très réussit et ça à duré jusqu’au bout de la nuit !

Pour moi, chez Carmen, c’est tout une époque.
Il y a 5 ans, nous avions un couple d’amis qui tenaient un très bon resto en face du Café Vivienne.
On se retrouvait tous le vendredi soir pour y picorer ou diner, boire au comptoir et terminer après que le rideau de fer soit baissé, à chanter et danser tout en buvant du Limoncello.
Forcément, après les 2 heures passés, on avait envie de continuer la fête et on se retrouvait tous chez Carmen toute petite boîte derrière les Grands Boulevards.
Après avoir mis notre pièce et sélectionner notre chanson sur le Jukebox, on dansait jusqu’à 5 heures du matin sur «C’est parti pour le show» de Nadiya avec des travestis, des homos qui venaient chercher leur mec d’un soir et des gens comme vous et moi.
Le bon vieux temps! J’ai appris que ça n’avait pas changer. Alors conseil, allez y que si vous êtes bien échauffé.

pour une fin de soirée très arrosée.
Pour moi, chez Carmen vaut le détour entre autre grâce au juke box, même si celui-​ci n’est pas très populaire dans les avis précédents. C’est agréable en fin de soirée de choisir soi-​même les titres les plus kitchs du monde. c’est vrai que l’endroit est petit et la faune, très éclectique mais c’est ce qui en fait à mes yeux un bon bar de nuit. Ca change des trucs branchouilles où la même musique passé tout le temps

En réponse pour la boule à facette… !
Oui Dame Carmen en profite et elle a raison ! Ben voui les gays sont des vaches à lait … Pis ben ya d’autres lieux aussi ! certes moins tards pour développer ses sentiments ! Alors étant gay mon coeur balance !: faire la fête? Payer cher parce que les boîtes n’ouvrent plus ou né nous acceptent plus? La boule à facette est chère mais marchera toujours pour l’être humain qui sait ce qu’il a à faire ! Bonne nuit. Respectueusement

Carmen, la bohémienne ch’ti du quartier bourse, vous remettra d’aplomb avant ou après une virée au rex ou dans l’une des boites environnantes. Seule obligation: tester le juke box!

Spécial
Je né sais pas si les propriétaires veulent conserver leur clientèle… les prix sont prohibitifs et la musique payante (juke box) ! L’accueil est assez trash également, à peine entrés on vous sauté dessus pour prendre votre commande ! Ceci dit l’ambiance est plutôt bon enfant. L’endroit est tout petit et donc propice aux rencontres… les plus insolites.

A éviter
Ce bar à priori avait l’air pas mal, mis à part que la musique passé par un jukebox (payant, donc). A peine avoir passé le pas de la porte, un serveur assez brusque nous sauté dessus pour prendre notre commande, jusqu’ici tout est normal après tout. Sauf que juste après avoir pris notre commande (que l’on a pas vu passer auprès des barmaid), ce même serveur veut nous encaisser (sans avoir vu l’ombré d’un verre, donc). Je né sais pas pour vous mais moi ça m’a fait complètement tiquer (ça et le fait qu’il nous tutoie direct lorsque l’on né veut pas payer sans avoir vu notre verre). A noter: 22 € la coupe de champagne… Après avoir passé ½h dans ce bar, la musique étant forte, les gens montent le ton pour pouvoir se parler. Sauf que voilà, ce n’est pas du goût de la serveuse qui renvoie ses clients (à l’heure de la fermeture, normal) en concluant par une phrase très commerçante «ouais bah moi ça fait 15 ans que je fais ce boulot, j’en ai marre, je veux personne contre le comptoir, alors maintenant tout le monde sort !» Vous l’aurez compris, selon moi, pour faire la fête autant passer son chemin. Musique: pop 90’s/2000. Décor: début 90’s (mini boules à facettes et jeux de lumière de tonton Robert).

Pas d’idées pour un after? Direction Chez Carmen ! Pour les infatigables qui né connaissent pas encore cette institution: adresse incontournable si vous n’avez pas sommeil ! Attention je parle vraiment des vrais noceurs car si vous n’arrivez pas assez tard il n’y a vraiment personne! Allez y après 4h-​5h du matin! Point négatif: un tantinet trop people A vous de voir — A consommer avec modération

Prix A-​BU-​SÉS et accueil moyen. mais on y retourne toujours comme des glanpins. Le tout c’est d’y aller très défoncé pour triper sur Dalida et repartir avec les numéros de téléphone de tout le bar.

Pour les noctambules voulant faire la fête quitte à être décadents. Les soirées né battent leur plein que tard dans la nuit (entre 2h et 4h), pour né finir qu’une fois le soleil à son zénith. C’est gay/travestis/artistes/hétéros/…friendly. Ambiance 70’s juke-​Box et boule à facettes.
Café 2EUR, coca 4EUR, alcool fort 8EUR.
Evitez de conduire en repartant si vous arrivez à retrouver votre voiture.

Rigolo
Je m’y suis trouvé par le plus grand des hasards à 4h du matin; ce fut très rigolo, très petit, très serré; rigolo car musique décalée à la becassine et en plus quasiment que Gay ! Mais ça change des autres soirées.

Sauvage
C’est tout ou rien: super ambiance et difficile de bouger ou bien le désert. Des tarifs élevés, quand l’ambiance est la, ok, sinon changer d’endroit. Attention au service: ils ont tendance à arnaquer quand on commence à avoir du plomb dans l’aile. Des rencontres éphémères mais si déroutantes.