Le Dauphin

Come here for the risotto d’encre seiche which is sublime and as black as the service.

We had reservations for Le Dauphin’s sister restaurant — Le Chateaubriand. We were running very early 6:30 and our reservation was for 9:30. They brought us over to Le Dauphin to wait.
Same chef only smaller plates.
This was our best meal in Paris. The wines were organic.
We ate pigeon and it was great. The prawns were amazing. No rushing I typical Parisian fashion.
Our server was wonderful and things could not have been better.
Either restaurant is worth going to the 11^th

Great value for the food quality. Need to be an adventurous eater to enjoy. I loved it.

We came here to get a drink while waiting for a table at Le Chateaubriand and ended up getting a few tapas that were phenomenal. I would come back anyway to have dinner here!

Best meal I“ve had in Normandy! Service was great and the place is lovely.
I thought the steak was just average. The steak wasn’t very high quality but everything else was perfect! I had the bass and it was amazing! Check the pictures!

Hum, alors je suis un peu perplexe concernant Le Dauphin.
La carte est plutôt intéressante mais beaucoup trop cher pour ce que c’est ! Des tapas entre 8 et 16 euros qui né révolutionnent en rien. Je peux facilement trouver bonheur à l’Avant-Comptoir par exemple pour moins cher. J’ai testé une bonite snackée, des croquettes de perles de tapioca et un tartare de veau et rien de m’a vraiment emballé. C’était bon mais sans plus. Il manqué cruellement un truc. genre que ce soit un peu plus garni car payer 16 euros pour un petit bout de bonite snackée ça fait mal ! Toutefois, le dessert était plus au moins correcte !
Niveau alcool, il y a du choix concernant les vins ! J’ai opté pour un rosé pétillant très moelleux et fruité ! Le prix: 30 euros la bouteille. Plutôt correcte pour le lieu je trouve et d’ailleurs c’était très bon ! La sommelière nous a très bien conseillé sur ce coup là !
Concernant l’endroit, c’est très épuré (un peu trop même), il n’y a pas de vie (enfin pas avant 22h car il n’y avait presque personne quand nous sommes arrivés à 20h). Une ambiance plutôt déprimante je trouve. Manqué de couleur. Ou de plantes. Enfin je sais pas mais c’était un peu trop lisse et vide à mon goût ! L’univers minimaliste etc, faut arrêter je pense, ça me donne le mal de tête !
Bilan: Si vous voulez manger des tapas, filez à l’Avant-Comptoir, les tapas sont meilleurs et l’ambiance est super-​friendly !

Le Dauphin…
Il se trouve que cette adresse me laisse perplexe car je l’adore tout en y trouvant un trop plein de défauts. Mais pas le genre de défauts qui rendent la chose toute mignonne, ici ce sont des vilains défauts qui pour un gourmet à ses heures perdues, anéantiront l’adresse à tout jamais.
Concrètement, avec Inaki Aizpitarte (Le Chateaubriand) aux commandes, l’adresse a tout pour plaire.
Le concept? Bar à tapas dans un cadre intimiste, tout en marbre avec un bar central où quelques tapas typiquement de bar (bulots, anchois, olives, charcut) se cachent derrière un présentoir. A table, pas de nappe, un bougeoir, la base des néobistrots you know what i mean?
La carte? Environ une quinzaine de «tapas», small plates ultra mini small. Genre trois bouchées quoi. Et niveau prix? 8e les bulots simplistes, 12e un tartare de veau, 16e la bonite snackée avec quelques oignons chalumés et pois gourmands, 15 les cinq tranches finissimes de magret de canard, dans un bouillon, 6e les quatre croquettes de perles de tapioca. Ce genre de prix qui te donne le vertige et pourtant je né suis pas frileuse des additions élevées, plutôt habituée à payer le prix pour bien manger. Mais là, c’est trop. C’est la goutte de trop.
Et justement niveau vins, la carte est bien bien garnie, travaillée par une sommelière avec une bonne cinquantaine de références entre 25 et 50e. Je trouve ça très bien de pouvoir se payer une bouteille de vin nature, belle et rafraîchissante à 15e par tête.
Gustativement parlant il n’y a rien à dire, c’est très très bon, inventif sans être tout à fait étonnant. Le tartare de veau est soupoudré de thé matcha en guise d’assaisonnement, et accompagnée de chips maison si fines qu’elles en deviennent translucides (si si c’est vrai, je voyais Ivica au travers de la pomme de terre). Les perles de tapioca version croquettes sont juste une tuerie, elles sont mélangées à de la crème et du parmesan, puis frites, et c’est croquant tout en restant d’une légèreté déconcertante tellement le goût gras et gourmand du fromage est là. La bonite snackée avec ses oignons chalumés (j’adore) est si fondante. mais un morceau n’est vraiment pas suffisant surtout à 16e, c’est assez désagréable de né pas en avoir pour son argent. Le maquereau brulé au chalumeau avec pickles d’ail c’est une tuerie, bien vinaigré, fondant et craquant avec une peau grillée. j’adore! Tempura de seiche à 12e, oui bon deux morceaux de seiche avec une sauce soja, gingembre. je sais pas trop c’est bon mais banal. Le magret de canard en bouillon vous voyez ça je le supprimerai de la carte. C’est assez troublant de voir ce genre de grand écarts d’un plat à un autre, mais l’erreur est humaine et les goûts divers.
Puis le boeuf façon tataki avec salsa à la mexicaine miam miam… trop trop trop bon !
On fini avec un dessert pavlova, fraises, basilic, un assemblage assez basique mais ça le fait de dingue ! Crème, fraises, feuilles de basilic et quelques lamelles de meringue j’adore. Puis la tarte meringuée est dinguissime, déstructurée toute mignonne. Mais j’adore aussi la glacé au lait ribot où quelques mini fleures viennent se la couler douce dans cette marre d’une blancheur immaculée, dont la couleur se ravive d’une filet d’huile d’olive. merveilleux.
Donc le Dauphin c’est génial à condition d’avoir un compagnon col blanc au salaire virevoltant, ou alors cassez la tirelire pour un apéro dinatoire des plus outrageux en plein avenue Parmentier, pas vraiment le décor pour les occasions d’or. Mais quand c’est bon, c’est bon et c’est l’essentiel non?

There are times, in Paris, when the rain is horrible and winter seems never to end. Today was that day. I came here for a change. What a delight. Lightly based rabbit in a wine and mustard sauce with a perfectly cooked endive. Good wine list, fast service and easy to connect wifi. Really, this place is great.

Bin spontan mittags rein und hab auch noch einen Tisch bekommen. Vor– und Nachspeise waren gut, das Tatar im Hauptgang sogar sensationell!
Die Einrichtung ist sicherlich nicht jedermanns Sache, aber ich war ziemlich begeistert. Irgendwie war alles aus Marmor, dazu ein paar FLOS-​Strahler.
Tolle Seife (von Aesop) auf dem Klo ;-)

This was place just awful!
The small plates were average at best, some better than others, but overall, average.
The lighting in the restaurant was far too intense, the owner who insisted on standing around was rude and obnoxious and the seating at the bar was uncomfortable to the point where I simply had to leave. There was nothing pleasant or relaxing about this establishment. I felt uncomfortable from the moment I arrived until I left. It was such a regrettable experience and I resent that I was made to feel so turned off on such a special evening.
Go at your own peril but with little or no expectations!

Depuis le temps que je voulais y aller ! D’autant que je n’avais pas pas du tout aimé le Chateaubriand juste à côté et qu’il me tardait d’avoir une opinion plus positive de cette deuxième enseigne.
Inutile de venir sans réservation pour le premier service, vous né trouverez aucune table. En cas d’envie soudaine d’un dîner au Dauphin, préférez le service de 21h, sans réservation. Même si l’on vous fera probablement attendre au bar, sur un tabouret, un verre de vin devant vous. Ce qui n’est pas désagréable…
Mieux vaut commencer par le point le plus négatif: c’est extrêmement bruyant. Autant qu’une soirée dans un appart qui auraient des murs en marbre. Donc si vous recherchez un peu de calme et d’intimité, mieux vaut fuir tout de suite.
A la carte, des «tapas» ou plutôt des petites portions, classées par catégories et qui changent chaque jour: viandes, poissons, légumes, desserts… Tout donne très envie, et ça tombe bien, on peut prendre 3 portions par personne. Au final, on se retrouve quand on est deux avec 6 assiettes différentes à partager, ce qui est vraiment appréciable. Les produits sont bons, frais et surtout originaux, et je né ferai aucun des reproches que j’avais fait à l’époque à la cuisine du Chateaubriand (trop concept, trop compliquée, mais cela concernait le menu d’une soirée). J’y ai trouvé plus de simplicité et du coup, plus d’âme. Le vin, nature, était pas mal du tout également (la carte est belle).
Mention spéciale au tapioca et aux tempura de seiches. En dessert, les fraises Mara des bois valaient vraiment le détour.
Bilan: c’est dans l’air du temps, c’est surprenant, bravo le Dauphin.

Our Airbnb hosts recommended this restaurant and we were lucky enough to snag a table right away on a Saturday night. We shared a bunch of small plates and really enjoyed everything — the food, the wine, the ambiance (the entire restaurant is covered in marble — very modern, minimalistic, and chic).
The food was all very inventive and flavorful, pairing interesting ingredients together. Among our favorite dishes were the tuna tartare with raspberries and almonds, the veal with mayo and capers, the corn dish with cream of corn and coffee, and the lemon tart (seriously, don’t leave without getting the lemon tart — practically every table ordered one while we were there and we were not disappointed when we got ours! Tasted like little puffs of lemony, merinquey heaven). We also got the seafood linguine, carrots with fish and roasted fig ice cream. Our waitress recommended a light and fruity red wine that went perfectly with all of our food.
Only negatives: Service was a bit slow but the place was jam packed the entire time we were there and the waitresses never stopped running around. Also, it’s a bit on the pricey side, especially when you consider the tapas-​sized plates but it was a fun and delicious splurge!
This is clearly a popular neighborhood hotspot and was such a lovely experience! Definitely recommend it!
Note: In case you don’t speak French, it seemed like all of the waitresses spoke English, but the menu was completely in French. Just a head’s up!

On a bien mangé, mais on n’a pas beaucoup mangé. Pour ce-​la, il faut manger la carte entière et si on calcule tout ça avec un dessert et vin oh lala…
De toute façon je pense pas qu’on puisse comparer Le Dauphin avec d’autres bar à vin. Même si on trouve plusieurs dans le même esprit, il garde quand même toutes ces particularités:
des produits exceptionnels et des produits différents
des produits d’habitude préparés de façon même innovante
tout est super bien travaillé
carte de vin naturels (même si c’est justement ça le but, je pense que proposer d’autres options aux clients ça pourrai être pas mal et surtout quand on est vite conseillée pour le vin et qu’on se retrouve après avec une chose qui n’a rien a voir).
Pour moi, l’étoile qui manqué c’est tout simplement pour la carte de vins un peu compliqué pour moi ce qui normalement est pas grave mais le conseil né m’as servi a rien car elle nous a amené ce qu’elle voulait. Après, Le Dauphin c’est un endroit pas comme autre à Paris, on a la chance de déguster des portions exclusives!

Un coup de coeur absolu pour le risotto à l’encre de seiche, les poireaux vinaigrette et la plupart des plats que j’ai gouté.
La note est très salée si on veut manger copieusement, voire juste manger à sa fin, donc ca reste un luxe!

With only two nights in Paris, I had to try out the higher end cuisine. Le Dauphin functions as a spinoff restaurant of Chateaubriand, literally connected through the back. The interior of the restaurant is minimalist but charming, much like the food.
Highlights:
— I had my first pigeon, and it was divine. It tasted like duck, but a bit less fatty. The raspberry sauce was a delicious, much needed acidity, and the Brussels sprouts were a nice addition.
— My friend’s butternut squash soup was divine. Elegantly garnished with spices on top, it was minimalist yet complex.
— The duck pâté was creative deconstruction of a traditional duck breast with orange sauce, served with a chilled orange zest. Great flavor, super creative.
Disappointments:
— The seafood ravioli was just too fishy to be pleasant.
— Salted baby potatoes? I guess they were salted correctly, but beyond that, I wasn’t impressed.
Overall, it was only an okay experience, hampered by some poorly executed dishes. It would help if the place had more interesting vegetarian options for those who choose it, especially for a place that boasts organic ingredients.
Also, our server incompetently charged both of us the same tab after to charge my credit card wouldn’t work and using my friend’s instead. This wouldn’t be a big deal normally, but this isn’t exactly an inexpensive place.
French tl;dr: Comme ci comme ca.

We were in the area and wanted to make a reservation for Chateaubriand. After finding out this place is the same owner we decided to give it a shot.
I’m in love. The décor is minimalistic/​industrial and the food is clean and delicious. The menu changes all the time according to what is fresh and in season. It’s food prepared beautifully in a non-​fussy way. It’s modern, home-​y food. We had all 3 courses. Our main was lamb — I personally don’t mine the gaminess you sometimes get with lamb, but the hubs hates it. He took one bite and had to ask to make sure it was lamb. It was THAT amazing. Service was unpretentious and casual, which suits this place. The prices are amazing for the quality of food you’re receiving.
Def on the list of places to revisit on our next trip to the City of Lights. You need to check this place out if in Paris!

Le Chateaubriand is next door, and Le Dauphin is their wine bar featuring organic/​biodynamic French vin and minimal cuisine, in a cool space.
We visited for a luncheon experience that was very good all around. Each dish was unique without being too weird — thankfully, the pan-​fried Dover sole was treated like a straightforward classic French dish. (I think it would have been soulless to mess with sole!)
Service was accomplished, yet, very casual, in the ‘no worries’ style. Again, wine list features off-​beat «natural» French wines. Every hip restaurant in Paris features these ‘outsider’ wines, whether you like these or not, is the question!
Having dined at Le Chateaubriand the night before, I preferred the luncheon cuisine served at Le Dauphin. Plus, the interiors at the wine bar are much more interesting than the main restaurant set-​up, that’s for sure. Apparently, the wine bar space was designed by Rem Koolhaas and Clement Blanchet, with white marbled walls and ceilings, and anything else they could cover with it, they did! Wooden tables and chairs soften the hard space. Makes for a sleeker than sleek wine bar, and I imagine at night it gets really loud when jam packed! When we visited during the day, we were their first booking, so, we had the place mostly to ourselves, until around 1 p.m. when table after table filled it. During the day was a great time to visit, as I think max natural light shows off the interiors best.
All in all, I would go back to this place, whereas I cannot say the same about Le Chateaubriand.

I will come home to the US and dream about the food I ate here. Squid ink risotto, tandoori octopus, wagyu beef, mushrooms that were sent from the heavens. O M G
We entered this place by happenstance but now I believe it was fate. The food is truly AMAZING and I love how everything is served tapas style so you can truly experience the best of what they have to offer. All the dishes seemed to be put together with thought and care, yet there was still a laid back enviornment within the restaurant (just my style!)
LOVE this place.

Easily the best meal, I’ve had in Paris/​in my life by far.
My friends and I arrived a little bit too late to get a table at the famed Le Chateaubriand, and a nearby shop keep must have seen our crestfallen faces because he came up to us and suggested that we try Le Dauphin next door. His words: «Same chef and food, only served a la carte. It’s fucking ridiculous.»
He walked us over, talked to the bartender and was able to get us the last table in the house. Lucky us! Our server was very sweet and was able to explain certain parts of the menu when our French failed us. In the end, we just asked her to choose her favorites and surprise us. BEST IDEA EVER.
Between my two friends and I, we sampled:
Grilled Tandoori Octopus — This was so tender, that it almost tasted like fatty roasted pork aka… it was the best thing in the whole world. Mind blown.
Haricot Verts with Poached Apricots — I’d rather have meat, but my mom would have killed us if we didn’t eat at least one veggie on our trip.
Wagyu Beef in Mustard Pomegranate Sauce
Mushrooms with Crème Fraiche — The waitress described it as three different types of mushrooms that are only found in France. Other than that there is no way to describe it, but was one of the best things I’ve ever had in my life.
Roasted Lamb Shank
Squid Risotto
Baba au Rhum
Rose and Raspberry Sorbet
Profiteroles with Hot Chocolate
As an Elite Unilocaler and Community Manager, I can usually wax poetic about the food I have eaten for days and days but this meal has left me speechless. If I could use an image to describe my experience here, it would be just one giant drool mark.
To quote Doctor Hibbard: «Diagnosis, Delicious.»
Overall, a wonderfully innovative restaurant with top notch service. I’d travel the world to come back here.

Brilliant resounding meal.
Entire front of restaurant is made of glass, so while dining you can amuse yourself as potential diners attempt to try and find the door. Sometimes they fail and the owner or waiter has to chase them down. Loved it.
Tapas style. Chose here over Chateaubriand based on price. Glad I came here because it was eye raising good. You know how you see something for the first time and instantaneously you are attracted to it… (ie a specific color, object, or… person)? Well translate that into how your taste buds feel after each tapas plate is served, one after another. Instant true love with modern French cuisine, getting fat could not have been easier and more pleasureful.
My favorites include the octopus, oh my god how are you able to incorporate earthy flavors with a whimsical addition of curry? Delicious. Squid ink risotto… We were scraping the bowl for every grain of that pitch black velvet. Oh gosh. Ceviche was fresh, restorative, and clean.
Make a reservation lest you come first thing when it opens, and only then will you be seated at the bar. My single cheek could probably take up the seat alone, so try for a table for maximum comfort.
Prices depend on how much you order, I recommend 3 – 5 dishes per person.
Ok now the best for last… The dessert. Olive oil ice cream was soothing, creamy, and guzzling (yes GUZZLING) good.
Enough of my crazy, theatrical praises. I loved my meal to the core of my bones. I hope you do too.

Sympa, good vibe mais mediocre au terme de la cuisine.

Bobo à mort
La cuisine est très inventive et j’y ai très bien mangé, le cadre est un peu froid avec du marbre partout, le service est agréable, légère sélection de vins.

Amazing tapas. The meat dishes blew me away.

I definitely prefer this over Chateaubriand, simply for the non fussy nature of the place and better quality of food. Whilst the wildly experimental are still not to my taste, I did like the wine selection and the variety of small plates. Made for a very nice evening.

Les mets et l’ambiance sont biens, mais niveau rapport qualité/​prix vous payez la clientèle !!!
Très beau bar en marbre blanc !!! et bon petit vin !!!

Super !
J’adore ce concept ! Pour des gourmands comme moi, c’est l’occasion de goûter à plein de choses. Les saveurs sont excellentes et originales et la présentation toujours parfaite. L’endroit est chic et convivial, le service parfait. Le poulpe tandoori est à tomber ! Allez-​y sans hésiter !

Das Dauphin ist eigentlich nur eine hippe Weinbar. Auf einen Tipp hin, bin ich hier her geraten. Entgegen der erhaltenen Empfehlung: Reservieren musst du nicht!, hatte ich Glück und ergatterte einen der letzten nicht reservierten Thekenplätze.
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Le Dauphin Platz neben der Theke noch unbesetzt
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Le Dauphin Platz an der Theke auch noch unbesetzt Die Speisekarte, liest sich eher wie die in einem Gourmet-​Restaurant, als die einer Weinbar. Der sehr freundliche Service wies mich darauf hin, dass alle
market-​based Speisen frisch zubereitet werden und man, je nach Hunger 2 – 5 der small plates, bestellt. Mir fiel es schwer mich zu entscheiden, zumal ich nach den Besuchen der Patisserie Stohrer (
) und der Patisserie Laduree (
) kaum Appetit hatte. (Beiträge folgen noch.)
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Le Dauphin In vino veritas Alea iacta est.
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Le Dauphin foie de oui, à la fraise Genial! Als mir der Service dieses Gericht vorsetzte, wähnte ich mich fast ins Dribbdebach (
) von Maître Klotzbach versetzt. Zart gegarte Stücke Gänseleber, in einer sehr schmackhaften Geflügelbrühe, verfeinert mit Basilikum– und Holunderöl, mit frischen, fruchtigen Erdbeeren, sauren Rhabarberstücken und aromatischen Holunderblüten. Ein Gedicht, wie es Maître Klotzbach, nicht besser hätte schreiben können.
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Le Dauphin poisson-​pâtes, à la bouillion de légumes Als zweites small-​plate hatte ich mit Fisch gefüllte Ravioli in Gemüsebrühe.
Hoch interessant! Der Maître de cuisine, hatte unterschiedliche Fischstücke mit interessanten
Geschmackskomposition versehen und in Nudeln gepackt. Aber auch die in der Brühe gegarten Gemüse, jedes Stück für sich ein Geschmackserlebnis.
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Le Dauphin Baba au rhum à la crème, granules craquants Zu guter letzt, konnte ich es nicht lassen den Kreis zu der süßen Seite der Macht, wieder zu schliessen. Hand auf’s Herz! Diesen Nachtisch, aus Babaorum könnte ich jeden Tag einmal essen. So einen in Rhum ertränkten Baba, mit Crème Triple und knusprigen Fleur-​de-​sel-​Schokoladenstreuseln. Mmmmmmmmmmmmmmhhhh! Fazit:
Gerne wieder.
Offiziell eine Weinbar ohne Stern.
Von mir 5 Sterne!

This place was great. We tried unsuccessfully to get a reservation at Chateaubriand and ended up here. It was perfect though. Modern interior, hip crowd, but casual and comfortable (except for the stools though — by the end of the meal our backsides were definitely wishing we had gotten one of the regular tables).
Lots of small dishes to share. Super fresh ingredients. Interesting use of herbs and spices. Flavor combinations we had never had before.
If you’re in the area, I definitely recommend it!

This place is incredible. On our last night in Paris, we decided to try to get into Chateaubriand. Because they weren’t able to seat us, we were shuttled over to this nearby restaurant which apparently serves the same food but a la carte rather than a tasting menu.
The highlights of the multiple small plates we received were the turbot in a delicate broth and the liver. The wine we got from the Languedoc region was also very delicious. I would highly recommend this place.

Et bien oui. 3 étoiles seulement pour le Dauphin… Je suis restée sur ma faim, dans tous les sens du terme. Des mois et des mois que j’attendais l’occasion d’y aller. Lorsqu’elle s’est présentée je trépignais comme une gamine.
Réservation à 20h, nous arrivons, c’est joli, blanc, propre, classe mais pas guindé. Le décor me parle. C’est de bon goût. Même si c’est un peu inconfortable.
On commence sur un rosé et une coupe de Champagne. Le rosé est un vrai scandale, mais vraiment (c’est à dire que je me suis demandée s’ils né l’avaient pas coupé avec de l’eau…), mais pour 5 euros je me suis dit «bon ok, voyons la suite». Le champagne est bon. C’est du champagne en même temps…
Le service est nickel.
On commence sur 4 mini-​plats:
— foie gras rhubarbe-​fraise: pas mal. 14 euros, allezzzzz
— poulpe tandoori: vraiment bien, mais à ce niveau là je trouve les portions anecdotiques. 11 euros je crois
— risotto à l’encre de seiche: 11 euros, magistral, fabuleux, on en redemande mais WTF avec la cuisson du riz??? Même là il y a un souci ! Pourtant niveau goût c’est juste dément.
— mozzarella fumée 5 euros: pas mal, mais le pain est mouais, bof.
Le problème? Les portions. Je crois que je n’ai pas eu le temps, pour chaque plat, de laisser évoluer le plat. En 3 bouchées (si comme moi vous voulez partager), vous avez à peine le temps de vous faire une idée ou d’explorer l’ensemble des saveurs de ce que vous mangez. Frustration extrême pour moi.
Et le tout est froid. Comprenez sans âme. C’est une cuisine sans émotion pour moi…
Donc bref. On a faim. On recommande :
— asperges blanches avec sablé au parmesan: vraiment pas flamboyant… 3 asperges saupoudrées de miettes de sablés, le tout fade (oui je l’ai dit FADE). C’est plutôt bon mais encore une fois non pour le prix quoi.
— onglet de boeuf wagyu: vraiment pas mal, braisé, excellente viande.
On finit sur 2 desserts:
— la tarte au citron= 7 ou 8 euros
— la glacé au lait ribot = 8 euros
Les 2 sont phénoménales. La vraie bonne nouvelle de la soirée et du repas. Une tarte au citron d’une finesse et d’une générosité incroyable (chose que je trouvais manquer terriblement au reste de notre repas), à la crème dense, intense, lisse et agrémentée de la meilleure meringue de ma vie. Glacé au lait ribot fraîche, inventive, réjouissante, avec son trait d’huile d’olive si bien senti et quelques feuilles de citronnelle.
Heureusement que nous avons fini sur cette note, et après 4 portions chacune nous étions juste bien. Mais nous sommes 2 petits gabarits… Comptez au moins 5 portions si vous avez une grosse faim, autour de 10 euro la portion en moyenne. Ça revient quand même cher avec du vin…
Le bilan: le vin et le pain, pas bons (mais bon, je n’ai exploré qu’un centième de la carte), les portions franchement limite, quelques plats pas convaincants, d’autres absolument sidérants de fraîcheur et de justesse (comme le risotto ou la tarte au citron). C’est une expérience à faire, surement, mais pas une valeur sure pour moi. Aux Deux Amis par exemple, je sais que pour 25 euros, je mangerai et boirai extrêmement bien et en quantité plus significative, pour le même genre de tapas…

Gastronomique? Oui un peu…
Bön? Oui sans problème…
Rapport qualité/​prix? Désespérément abusé! Et c’est là le hic.
Les plats ont beau être bons, les portions sont ridiculement minuscules.
On s’est demandé, à chaque plat qui arrivait, si ce n’était pas une blague.
Au final, 2 verres de vin et 4 plats «bouchées apéritives» pour 55 €, ça fait un peu cher le concept. C’est le seul reproche que je ferai.
Mais franchement on peut manger aussi bien, et surtout à sa faim, pour le même prix!

Une grande table parisienne dans laquelle Inaki laisse encore exprimer tout son génie. Le soir ils vous proposent des tapas de haute volée qui sauront vous transporter dans de beaux voyages, une des plus belles adresses parisiennes.

I finally tested the much-​hyped Dauphin and my verdict is: meh. I walked in a bit hesitant since I wasn’t allowed to reserve a table and was told that the wait would be unpredictable. So, from the get go, I wasn’t really sure whether we’d stick around or head somewhere else which added a bit of unnecessary anxiety to the whole experience.
Even though there were two empty seats at the bar I was told to squeeze into the other side of the bar since that’s where people waited for tables. I did so, irritating everyone that passed by and was this close to bailing when I was told that there was a table opening up in ten minutes. Cool!
Seconds after my dinner guest arrived we were seated, and things started looking up. We decided to go with the Wagyu beef with brussel sprouts, escargot served with spinach and grains, the tandoori-​spiced octopus and the grilled calamari all washed down with a crisp bottle of white. The octopus and the escargot were amazing, but everything was served so quickly that by the time we got around to eating it the dishes were barely warm.
In terms of the atmosphere, the place was jam-​packed and loud as hell until around 10:30pm. It wasn’t until I got home that evening that I realized just how loud the place must have been because my ears were ringing as if I had just been to a Slayer concert sans earplugs!
All in all, it was fun to try, but I’d prefer to keep my eardrums intact rather than revisit that experience.

Même pas le temps de dire ouf que l’on repart d’où on est venu !
Nous sommes arrivés à 4, sans réservation certes. L’homme derrière le comptoir nous reçoit, sans sourire, sans rien, hautain, à la limite de la correction. Le restaurant était complet, nous souhaitons néanmoins déguster un verre de vin au comptoir. Il nous indique dans sa grande magnanimité 20 cm de longueur sur son comptoir, derrière sa caisse enregistreuse pour prendre nos verres… Nous partons sur le champs, tellement secoués par cet accueil des plus désagréables… Je connaissais déjà le voisin du Dauphin, qui victime de son succès, avait vu la qualité de son accueil en pâtir très clairement… Le Dauphin s’est très clairement fait contaminer…

Autant le dire dire tout de suite, j’ai été très déçu par cette adresse. Pourtant je suis fan du principe de pouvoir commander de petites portions de plein de plats, ambiance tapas, en plus c’est l’été, c’est sympa… Bref, voilà pour le côté positif. Deuxième point, sur les 12 tapas que nous avons commandé avec mes amis, 3 valaient le détour: le risotto à l’encre de seiche, bien savoureux; les madeleines au miel parfumé à la truffe (bien croquantes, miam ! par contre le goût de truffes n’apparaît en bouche qu’un quart de dixième de seconde); les anchois sont fameux aussi. Par contre le reste est vraiment trop cher pour une qualité correcte dirons nous, sans plus. La burrata? 7 euros pour une petite boule, sans particularité aucune. Le Wagyu, bœuf japonais, vendu 15 euros pour quelques bouchées… Très décevant: on s’imagine goûter ce si tendre bœuf asiatique, mais en fait non. C’est désespérément banal. Le ceviche? Le poisson n’était pas assez mariné, clairement. Les ravioli sont pas mal par contre. Le maquereau et ses 4 moules, correct (10 euros quand même), le fromage de brebis sans intérêt. Mais le pire est quand même cette satanée «salade d’herbes au chèvres» facturée 9 euros dans sa petite assiette composée… d’une pauvre mâche saupoudrée de chèvre congelé (véridique, c’est le serveur qui nous l’a précisé).
Le Chablis (39 euros) était pas mal. Mais voilà: pour une succession de 12 petites portions à la qualité très très inégale, et deux bouteilles de vin (on était 4), 190 euros. Abusé, au vu de la concurrence pas si loin (je pense aux Deux Amis, rue Oberkampf, qui le surclasse à tous els niveaux).
Ajoutez à cela un service déplorable, avec un serveur totalement antipathique, une déco surfaite de miroirs avec pleine ouverture sur l’avenue Parmentier trop bruyante ce soir là (en août). Bref, à éviter, vraiment, on n’a pas de temps et d’argent à perdre avec ce gendre d’adresses alors qu’il y a tant de petits paraids à Paris !

Sorry. Wanted to like this place. Really wanted to like this place. Guitarist from Sonic Youth was there. Line at Chateaubriand was forbidding. But not as forbidding as literally everything I put in my mouth at this place. 12 Euros for three cold pieces of asparugus with fennel powder all around the plate. Cold and bland and strange. Not in a good way. Steak was good. As in the meat was good. It was accompanied by a ridiculously over smoked eggplant purée which totally over powered the meat, but in a smokey way that made it tasty meatier that the steak and not in a good way. Just a bad combination. Tried the ceviche. The broth was seemingly flavored with just celery. A super cheap flavor and not one typically associated with ceviche. I don’t mind going outside the box, I love it, but this was just not working. Then we got the fried anchovies which came with zero dipping sauce. Tempura without tempura sauce. Then we got a cheese plate that was just slices of osau-​iraty. One of my favorites, but it was sliced up like I would get at an american grocery store with zero accompaniment besides stale bread. Not toasted, just dried out.
The wine was good. An ajou. The food was absolutely awful and I asked the server to get me the best of what they had.
Live and learn.

Le Dauphin is the perfect place to drop in last minute, park up at the bar, and enjoy exquisite french tapas. The velvety squid ink risotto, the pork belly with sinfully crispy skin, and the creamy mushroom velouté all rank up there as some of the best bites in Paris. Despite the marble and mirror décor (which is more 80s nightclub then intimate tapas bar) the atmosphere is surprisingly laid back. So if the line at le Châteaubriand next door is just too long, Le Dauphin is a sure bet for an interesting and satisfying meal, with enough oddball flavor combos (like white asparagus with pickled kumquats) to please the true foodies and enough hearty staples (like buratta or crispy pork belly) to please the rest.

Legère mise à jour pour dire que le paleron de boeuf wagyu est une folie furieuse.
tout comme le cochon de lait rôti et l’écrasé de vitelotte qui accompagne l’agneau.
Et tentez d’avoir l’unique table en terrasse, c’est chouette aussi.

Vive le marbre
Alors le marbre on aime ou on aime pas, on l’interprète comme on veut, on y reste ou pas, en tous les cas cela né laisse personne indifférent. Ca sent la langoustine là dedans, on sait pourquoi les gens sont là. le service est sympa et assez détendu, bon en revanche côté carte des vins c’est un peu un scandale, dommage de vouloir jouer sur le tableau d’une sélection trop surfaite.

la bouffe: extra !!!
l’attente: sordide ! (2 h pour avoir ta première portion de néo tapas)
l’anbiance: pas de musique mais un bruit infernale certainement dut au décor fait de marbre, branché avec une faune très interessante pour le moment (play boy et brytney spears un peu partout)
en gros un bon terrain de chasse pour serrage .

deco: on aime ou on déteste: j’ai aimé mais je risqué de très vite m’en lasser… peut ete trop pointu ???

Le dauphin, ça me faisait FLIPPER! En bon accro de la série, il y a de cela quelques printemps où je faisais BIP BIP dès qu’on m’envoyait un ballon dans l’eau…
Le dauphin, je l’ai appris il y a peu (par un beau mois de décembre givré), c’est aussi et surtout ce très bel endroit, ce second restau d’un As: d’un Inaki contant son talent, ses mémoires tel Chateaubriand, cette alliance superbe entre un Maître de la cuisine contemporaine qui sait innover en sublimant son propos gourmand et un prix pritzker venant tout schuss du pays du fromage.
On l’attendait ce déjà couronné meilleur décor par certains foodies.
Nous avions déjà dîné au chateaubriand: ce fut si bon, si fabuleux.
On l’attendait au tournant, ce nouveau bistrot bobo de Inaki et ses boys.
Le dauphin, ce fut une brasserie Kanterbrau, le dauphin c’est devenu un bistrot so chic éclairant et enivrant.
Le «kanterbrau «est resté avec ce néon en faux semblant.
L’intérieur lui a été complètement chamboulé, refait à neuf.
De gros travaux et un résultat qui né déçoit pas.
Marbre blanc, long bar, glaces dignes d’alice aux pays des merveilles, éclairage à la bougie.
Le menu au Dauphin change souvent.ça se bouscule, ça se pense, ça se déguste :on en est lady gaga.
Les fines gueules sont toutes là ?Parfait, on va pouvoir jouir en paix.
Il est 20h30, ce mercredi 19 janvier et demain c’est ma fête !!
Entre la St Sébastien et …, je veille ce soir à bien préparer l’évènement.
Et puis après tout, à 0h00, ce sera champagne :…dans seulement 3h30.
Je serai toujours au dauphin à cette heure là, en faites…
Car la fête aura commencé bien plus tôt que je né l’aurai imaginé.
Suivez mon aileron, je vous emmèné loin: dîner à la bougie avec Inaki.
Bien installé, je vois défiler devant moi une succession de réjouissances de 6 à 11 euros.
1ere session: plats en solo.
–Un velouté de potimarrons foie gras à 8 euros (un must de chez must !ééénorme !),
–Encornets à la plancha 9 euros (miam miam that’s it),
–Tempura gambas à 9 euros (j’en suis crevette)
2 eme session: plats en mode partage
–Ecrasé de pommes de terre vitelotte 6 euros (purée c’est bon),
–Risotto à l’encre de seche 11 euros (suis bien ancré c’est bon),
–Mozza fumée 5 euros (ca m’a fumé),
–Glacé lait ribot 5 euros (remettez m’en une).
Vins accompagnant le tout :
–Verre de bourgogne melon 2009 la sœur cadette 5 euros
–Verre de vin de loire ça c’est bon 2010 laurent lebled 5 euros
Bémol: j’aurai récupéré ma veste dans un local peu enclin à faire office de vestiaire
4 étoiles en somme, comme notre équipe de handball
⁴⁵⁄₄₈ euros par personne à peu près pour ces petits plats malins, croquants et fondants. C’est du tout bon.
» Le dauphin nagera toujours en eaux turquoises «célèbre auteur anonyme.

De quoi le Dauphin est-​il le nom? Il s’agit du second établissement de l’équipe du Chateaubriand avenue Parmentier. L’endroit ayant ouvert ses cuisines fin décembre 2010, il était grand temps de réserver une table pour la mi-​janvier!
Au premier abord, la devanture surprend. Elle est composée pour l’essentiel d’une large baie vitrée qui avance sur la rue, intégrant une partie du trottoir à l’intérieur. Ainsi, l’on peut aisément voir vivre le restaurant de l’ extérieur.
Le cadre, quant à lui, est déjà célèbre pour avoir agité la planète foodies. Il est pour l’essentiel constitué de marbre de Carrare du sol au plafond à l’exception du mur du fond tout en miroir. Le soir, des bougies ornent les tables, conférant au lieu une atmosphère assez singulière (trop «cold» aux goûts de certains mais pas du mien) qui contraste avec la grande animation de la clientèle. En effet, l’endroit n’a pas été forcément conçu pour être «cosy», mais plutôt dans un esprit urbain et de mouvement; on peut d’ailleurs voir Inaki faire des allers-​retours entre la salle et la cuisine ou boire un verre au bar.
Assis sur des tabourets en bois design, l’on nous apporte le menu: celui-​ci consiste en quelques grandes familles d’ingrédients: viande, légumes, mer, fromage, dessert… Le tout est servi en portions (c’est l’une des originalités du lieu): c’est à dire des assiettes plus grandes que des tapas mais plus petites qu’un plat traditionnel. Il est facile de mixer différents ingrédients, de les partager avec ses convives pour obtenir de multiples combinaisons. J’ai ainsi debuté par une terrine de tête et pieds de cochon (8 euros) et une pluma ibérique (un morceau de cochon Pata Negra particulièrement prisé pour son fondant) à 10 euros. La personne qui m’accompagnait avait opté pour un velouté de potimarron et foie gras magnifiquement parfumé (8 euros) suivi de calamars joliement cuits à la plancha (9 euros).
La seconde session fut dédiéé aux plats «partage»: un risotto à l’encre de haute tenue à la cuisson impeccable et à la delicate saveur marine (11 euros) ainsi que des coquilles Saint Jacques avec de petits légumes de saison (11 euros), le tout accompagné d’un écrasé de pomme de terre vitelotte (saupoudré d’herbes aromatiques) du meilleur aloi (6 euros).
En guise de dessert nous avons pris la fameuse glacé au lait Ribot (glacé au lait fermenté arrosée d’un léger filet d’huile d’olive et de petites fleurs de citronnelle!) et la mozzarella fumée au goût toujours aussi étonnant (5 euros).
Quant à la carte des vins, elle semble exclusivement dédiée au naturel (comme au Chateaubriand). Pour ma part, mon verre de «Ca c’est bon» 2010 était extrêmement fruiiitééé !!!
En résumé, le Dauphin est vraiment en endroit réussi. La cuisine est savoureuse et le principe des portions apporte un vrai supplément. L’ambiance est très animée et le cadre original. Bravo!