Encore une découverte provoquée récemment par une distribution de tracts sur les Grands boulevards. C’est très étrange que cette technique publicitaire fonctionne aussi bien sur moi à l’heure du déjeuner alors qu’elle échoue systématiquement(dans la poubelle) dès lors que le prospectus veut me faire avaler des messages politiques ou religieux ou pire encore, des couleuvres. La jeune femme a donc très bien fait son boulot. Bravo Qualité & Co. Je vais éviter de vous détailler par le menu le menu justement. Ils ont déjà fait le boulot sur leur site web( ). Aujourd’hui j’ai pris une salade de lentilles/quinoa ainsi qu’un sandwich tomate/mozarella et j’ai été ravi des papilles. Sinon, pour la suite, on commence par quoi? Les bons ou les mauvais points? Considérant la rumeur qui veut que l’internaute moyen né dépassé pas les 15 mots et/ou les huit secondes sur une page web, je vais être sympa et garder le pire pour la fin de sorte que la plupart d’entre vous n’en retiendrez que le meilleur(ou _comment se faire traiter en douce d’internaute moyen sans jamais avoir osé le demander.) Le premier de ces bons points est que cette chaîné qui m’était inconnue prouve ici avec ce troisième restaurant à Paris que l’alimentation saine, privilégiée par un nombre croissant d’enseignes dans le monde de la restauration rapide, a de plus en plus la faveur des morfaloux pressés mais soucieux de qualité. Dans ce restaurant, on a vite confiance dans l’engagement de Qualité & co d’offrir des produits sains garantis naturels et/ou bio, sans additifs ni conservateur. Le restaurant est très joli, zen, comme quelqu’un l’a déjà écrit, lumineux par ses grandes fenêtres en façade et en cuisine. J’ai beaucoup aimé le fait que la cuisine, qui se trouve derrière un comptoir au fond du resto soit ouverte sur la salle. Cela me réconforte toujours de voir ce qui se passé en cuisine mais en même temps, je pense que ça doit être plus stimulant pour les employés qui y travaillent et qui profitent ainsi de la lumière du jour, d’une bonne vue sur la salle et la rue ainsi que d’une meilleure communication avec les collègues. J’ai beaucoup aimé ce que j’ai mangé aujourd’hui comme je l’ai écrit plus haut. J’étais même assez surpris que ça soit aussi savoureux. Par contre, n’étant qu’un client occasionnel de ce genre de resto où je né prend jamais de plats chauds pour né pas avoir à les chauffer au micro-onde, mon choix s’arrête toujours au salades et au sandwiches. Je né saurais donc pas donner d’avis sur les plats à la carte. Et pour en finir avec les bons points, il né me reste plus qu’à parler de l’efficacité et de la gentillesse de l’équipe et de la propreté du lieu. Je n’ai pas sorti de loupe mais le sourire de tous et l’expérience globale m’a laissé une excellente impression de ce restaurant. Allons-y avec le pire maintenant. En fait, c’est pas vraiment le pire mais plutôt le moins bon du meilleur, à moins que ça né soit le plus moins bon que le moins moyen. Bref, c’est rien de grave mais ça peut faire la différence avec la concurrence. Contrairement à d’autres enseignes de restauration rapide, saine ou pas, aucun effort né semble être fait par Qualité & co pour diminuer son impact link: plastique y est donc roi. Les poubelles près des caisses né permettent de recycler que les bouteilles de verre et de plastique. tous le reste retourne à la case détritus. Au-delà de douze euros, le restaurant assure des livraisons gratuites et certainement motorisées. Je n’ai rien vu, dans les couverts ou les contenant qui soit biodégradable, réutilisable ou recyclable. Les deux critiques qui vont suivre sont liées. La chaîné né propose que des formules avec dessert et boisson. Moi qui préfère d’ordinaire les Entrée/Plat au Plat/Dessert, j’écarte d’emblée toute les formules de Qualités & co. J’ai bien conscience que mon petit malheur fait le bonheur de plusieurs. C’est peut-être même un plan marketing de la chaîné qui pour se démarquer cherche à se positionner ainsi en haut de l’affiche dès lors qu’on pense à s’accorder de saines petites douceurs. Plus j’y pense, plus ça doit être ça en fait. On entre dans le resto et le grand frigo sur la gauche contient tout ce que la carte propose, desserts compris. On fait son choix et on se dirige vers le fond pour payer. Là, les plus faibles craqueront avant de dégainer la carte bleue. Tout le comptoir des caisses est un immense hangar à dessert, une version sans coupure de la bande annonce du premier frigo, une application marketing assumée de bis repetita placent, un truc qui laisse à penser que s’il le pouvait, il se ferait aussi gros que le restaurant. Moi je suis insensible à tout ça mais je sais bien que tous n’en diront pas autant. On fera le décompte des victimes plus tard. Donc, et en terminant, obligé de piocher à la carte plutôt que dans les formules. j’ai payé 3,50EUR